Oui pas de CD-RW pour les CD Audio et non CD de fichier (et je parle bien de CD Audio, normes Joliet etc etc merdier de l'époque là, j’ai plus trop en tête) en une session et non multisession (une platine CD Audio ne lit pas ou tout du moins ne lisait pas les sessions suivantes), et finalisé.
Moi c'était sur le chargeur Sony de merT' que ça ne passait pas, sauf les Verbatim (couche photosensible bleue foncé). Les CD à couche vert pâle, niet. Mais sur les CDJ500II, tout passait.
Pas vraiment une histoire d'anticopie (la gravure de CD par du particulier coutait cher en 98, quand tu voyais que déjà le graveur CD c'était 3000 Francs et c'était vraiment pas répandu, qu'il fallait qu'il soit en SCSI (en IDE ça suivait pas), etc etc c'était 7000 Francs le pc de gravure monté soi-même. Le chargeur de CD datait d'avant (94 un truc du genre).
Non c'est surtout que le procèdé de réflection n'est pas du tout le même : le CD pressé, du commerce, c'est couche métalique réfléchissante trouée, le CD gravé, c'est couche métallique rfléchissante avec devant couche photosensible pour cacher la couche métaliique rfléchissante là où elle n'a pas été gravée ("brûlée", d'où "burning a CD"), on voyait d'ailleurs quand un CD n'était pas gravé entièrement. Sauf que si la couche photosensible n'est pas assez opaque, le fasiceau des platines CD, si trop puissant, passait quand même au travers dont rien n'était lu.
Pour les 80 Min ou plus, souvent, les lecteurs (qui prenaient les gravés), ne lisaient pas la fin, faute de butée mécanique (les 80 min et plus était vraiment gravés vraiment jusqu'au bord du disque).